35 Manche Nord Ouest
Région de PÉRIERS
Toutes les Coordonnées GPS des sites présentés sont à retrouver dans Notre Carnet de Voyage.
35-01 Église, un édifice exceptionnel : après les peintures murales, chercher la nativité dans les croisés puis trouver le bas relief des arracheurs de dents
Périodes : XIIe, XIIIe, XIVe, XVe siècles.
À voir : Ensemble de l'édifice, peintures murales, bas-reliefs, clés de voûtes, mobiliers, statuaire, légende...
À voir : Ensemble de l'édifice, peintures murales, bas-reliefs, clés de voûtes, mobiliers, statuaire, légende...
Dans cette église, il faut tourner, lever, baisser la tête ; diriger ses yeux dans tous les sens pour en découvrir l’infini richesse. Un prieuré primitif est fondé en 1070. Dans cet édifice, les piliers qui soutiennent la tour datent de la seconde moitié du XIIe siècle. La nef gothique et les collatéraux sont construits vers le milieu du XIIIe siècle. Le chœur et la tour sont élevés à la fin du XIIIe et au début du XIVe siècles. La voûte de la nef est achevée au XVe siècle.
Découvertes
L’église abrite une grande richesse. Tout d’abord dans la nef. En levant les yeux, on aperçoit notamment des sculptures sur les clefs de voûtes à la croisées des ogives représentant l’Annonciation, la Nativité et l’Adoration des mages. La chaire représente la victoire de la parole de Dieu sur le mensonge, symbolisé par le diable "souffrant" qui lui sert de soutien. Dans le chœur, les peintures murales datent de la première moitié du XIVe siècle. Au Moyen-Âge, la plupart des gens ne sait ni lire, ni écrire. Avec ces messages visuels, les bâtisseurs vont "éduquer" les Chrétiens et décorer l’édifice. Ornant les tympans au-dessus des arcades et des voûtains du chœur, elles représentent l’Annonciation, la Visitation, la Nativité, l’Annonce aux Bergers, l’Adoration des Mages, Jésus parmi les docteurs, le Massacre des Innocents, la Présentation au Temple, la Fuite en Égypte, la Légende de Saint-Manvieu, évêque de Bayeux, et les vies de saints locaux… Elle abrite également de nombreuses statues et un riche mobilier ainsi que différents personnages grossiers et caricatures sculptés sur les chapiteaux.
Curiosités et légende
Au dessus du portail se trouve un bas-relief calcaire du XVIe siècle représentant Sainte-Apolline et ses bourreaux lui arrachant les dents. Voir légende ci-dessous...
Découvertes
L’église abrite une grande richesse. Tout d’abord dans la nef. En levant les yeux, on aperçoit notamment des sculptures sur les clefs de voûtes à la croisées des ogives représentant l’Annonciation, la Nativité et l’Adoration des mages. La chaire représente la victoire de la parole de Dieu sur le mensonge, symbolisé par le diable "souffrant" qui lui sert de soutien. Dans le chœur, les peintures murales datent de la première moitié du XIVe siècle. Au Moyen-Âge, la plupart des gens ne sait ni lire, ni écrire. Avec ces messages visuels, les bâtisseurs vont "éduquer" les Chrétiens et décorer l’édifice. Ornant les tympans au-dessus des arcades et des voûtains du chœur, elles représentent l’Annonciation, la Visitation, la Nativité, l’Annonce aux Bergers, l’Adoration des Mages, Jésus parmi les docteurs, le Massacre des Innocents, la Présentation au Temple, la Fuite en Égypte, la Légende de Saint-Manvieu, évêque de Bayeux, et les vies de saints locaux… Elle abrite également de nombreuses statues et un riche mobilier ainsi que différents personnages grossiers et caricatures sculptés sur les chapiteaux.
Curiosités et légende
Au dessus du portail se trouve un bas-relief calcaire du XVIe siècle représentant Sainte-Apolline et ses bourreaux lui arrachant les dents. Voir légende ci-dessous...
La légende de Saint-Apolline
Nous sommes en Égypte au IIIe siècle. À cette époque sévit la cruelle persécution de l’empereur romain Dèce. C’est le temps où les païens pouvaient, sans risque, donner la chasse et tuer les chrétiens. Les autorités fermaient les yeux, et approuvaient même. Sainte-Appoline, vierge fidèle et déjà avancée en âge ne cesse de prononcer son Dieu. Capturée, ses bourreaux vont lui fracasser la mâchoire et lui briser toutes les dents. Mise ensuite devant un bûcher, elles est menacée d’être brûlée vive si elle ne répète pas les injures proférées par ses tortionnaires contre le Christ.
Appoline, profitant d’un moment d’inattention, court se jeter d’elle même dans les flammes. Donnant ainsi un suprême témoignage de sa foi au Christ et reconnue martyre, on a fait d’elle la sainte guérisseuse des maux de dents et la patronne des dentistes. Elle est également souvent représentée tenant une paire de tenaille dans la main.
35-02 Église : un Ecce Homo non loin du maître-autel en marbre polychrome
Périodes : XIIIe, XIVe, XVe siècles.
À voir : Ensemble de l'édifice, mobilier, maître-autel, statuaire, ecce homo...
À voir : Ensemble de l'édifice, mobilier, maître-autel, statuaire, ecce homo...
L’édifice est construit à l’emplacement d’une église romane dont il ne reste qu’une petite porte et la trace d’une poutre. Le chœur et la croisée du transept de type gothique datent du XIIIe siècle. La nef est édifiée au XIVe siècle et l’ensemble sera parachevé au début du XVe siècle par l’élévation de la flèche. L’église est gravement endommagée pendant la Seconde Guerre mondiale au cours des combats pour la libération de la commune et sera reconstruite à l’identique.
Découvertes
L’église abrite de nombreux objets classés au titre des monuments historiques : le maître-autel en marbre polychrome, un ecce homo, statue en pierre calcaire polychrome de la fin du XVe ou début du XVIe siècle représentant le Christ présenté au peuple après sa flagellation revêtu de la couronne d’épines, d’une cape et les mains liées.
Découvertes
L’église abrite de nombreux objets classés au titre des monuments historiques : le maître-autel en marbre polychrome, un ecce homo, statue en pierre calcaire polychrome de la fin du XVe ou début du XVIe siècle représentant le Christ présenté au peuple après sa flagellation revêtu de la couronne d’épines, d’une cape et les mains liées.
35-03 Monument commémoratif : les visages authentiques de quatre soldats morts au combat en 1944 sont à jamais gravés dans la résine et le bronze
À voir : Monument commémoratif 1944, bataille de Normandie...
Bataille de Normandie
Ce monument commémoratif rend hommage à la 90e division d’infanterie Américaine qui libéra la commune le 27 juillet 1944. Il est inspiré de quatre soldats qui ont réellement existé et qui ont perdu la vie en libérant cette partie de la région entre juin et juillet 1944. Ils étaient respectivement âgés de 19, 22, 31 et 32 ans. La sculpture montre les soldats en action : un infirmier soigne son camarade alors qu’un autre appelle des renforts et qu’un dernier fait face au combat. L’artiste a souhaité représenter, autant que faire se peut, les visages authentiques des quatre soldats. L’auteur explique ainsi son œuvre : "Chaque personnage est en déséquilibre, légèrement décentré par rapport à son centre de gravité, ce qui donne du mouvement. Le blessé n’est pas tout à fait mort ni tout à fait vivant, sa tête commence à se désarticuler. L’infirmier dans un geste inutile mais accompagnateur le soutient maladroitement, chacun connaissant son avenir. Les personnages sont plus vrais, les gestes presque gauches confèrent une réalité humaine. Le tankiste en colère demande de l’aide en étant tout à fait conscient de la scène qui se déroule derrière lui". Les tombes des quatre soldats Américains se trouvent au cimetière militaire Américain de Colleville-sur-Mer dans le Calvados.
Ce monument commémoratif rend hommage à la 90e division d’infanterie Américaine qui libéra la commune le 27 juillet 1944. Il est inspiré de quatre soldats qui ont réellement existé et qui ont perdu la vie en libérant cette partie de la région entre juin et juillet 1944. Ils étaient respectivement âgés de 19, 22, 31 et 32 ans. La sculpture montre les soldats en action : un infirmier soigne son camarade alors qu’un autre appelle des renforts et qu’un dernier fait face au combat. L’artiste a souhaité représenter, autant que faire se peut, les visages authentiques des quatre soldats. L’auteur explique ainsi son œuvre : "Chaque personnage est en déséquilibre, légèrement décentré par rapport à son centre de gravité, ce qui donne du mouvement. Le blessé n’est pas tout à fait mort ni tout à fait vivant, sa tête commence à se désarticuler. L’infirmier dans un geste inutile mais accompagnateur le soutient maladroitement, chacun connaissant son avenir. Les personnages sont plus vrais, les gestes presque gauches confèrent une réalité humaine. Le tankiste en colère demande de l’aide en étant tout à fait conscient de la scène qui se déroule derrière lui". Les tombes des quatre soldats Américains se trouvent au cimetière militaire Américain de Colleville-sur-Mer dans le Calvados.
35-04 Fontaine et église : après avoir passé le portail du XVIIe siècle du cimetière, descendre à la source en contrebas de l’église avant de remonter vers le siège curule de Saint-Pierre
Périodes : XVe, XVIe, XVIIe siècles.
À voir : Portail, source, statuaire, fonts baptismaux...
À voir : Portail, source, statuaire, fonts baptismaux...
L’ancien portail du cimetière datant du XVIIe siècle reste le dernier vestige de l’enclos religieux formé par le cimetière, l’église et la fontaine. L’édifice, avec son clocher en bâtière, conserve quelques traces des structures romanes originelles mais fut profondément remanié aux XVe et XVIe siècles.
Curiosités
En contrebas de l’église coule une fontaine dont l’eau est réputée guérir l’eczéma. Après s’être rendus à la source, les pratiquants ont l’habitude d’aller dans l’édifice pour prier au pied de la statue de Saint-Méen et y déposer des offrandes et des ex-voto. Ce saint est invoqué pour les maladies cérébrales et de peau.
Découvertes
L’église abrite une rare statue de Saint-Pierre assis en pape sur une chaise curule (sorte de tabouret formé par deux pieds entrecroisés sur lesquels est tendu un morceau de tissu) datant du XVIe siècle et présentant une remarquable polychromie ; ainsi qu’une Vierge à l’enfant et d’imposants et remarquables fonts baptismaux du XIIIe siècle.
Curiosités
En contrebas de l’église coule une fontaine dont l’eau est réputée guérir l’eczéma. Après s’être rendus à la source, les pratiquants ont l’habitude d’aller dans l’édifice pour prier au pied de la statue de Saint-Méen et y déposer des offrandes et des ex-voto. Ce saint est invoqué pour les maladies cérébrales et de peau.
Découvertes
L’église abrite une rare statue de Saint-Pierre assis en pape sur une chaise curule (sorte de tabouret formé par deux pieds entrecroisés sur lesquels est tendu un morceau de tissu) datant du XVIe siècle et présentant une remarquable polychromie ; ainsi qu’une Vierge à l’enfant et d’imposants et remarquables fonts baptismaux du XIIIe siècle.
35-05 Ancien calvaire
Au carrefour de la route menant vers l’église se trouve un très joli petit calvaire ancien.
35-06 Vestiges de l’église, un promontoire pour l’armée Allemande et un village martyr en 1944
Périodes : Origines XIe siècle.
À voir : L'ensemble des vestiges, traces de peintures murales, dallage, bataille de Normandie...
À voir : L'ensemble des vestiges, traces de peintures murales, dallage, bataille de Normandie...
L’édifice a été originellement érigé vers 1055.
Bataille de Normandie
Placé sur les hauteurs de la petite commune, l’armée Allemande utilise son clocher pour observer, sur plusieurs kilomètres à la ronde, la progression des soldats Américains débarqués le 6 Juin 1944. Afin de supprimer ce point militaire stratégique, la petite église subit un bombardement aérien entre le 22 et le 24 Juin 1944. Après 18 jours de combats, le village est libéré le 28 Juillet 1944. Les habitants ne découvrent que ruines et désolation. Sur les 65 maisons qui composent le bourg, 35 sont complètement détruites et les restantes ont toutes subis des dommages importants.
Bataille de Normandie
Placé sur les hauteurs de la petite commune, l’armée Allemande utilise son clocher pour observer, sur plusieurs kilomètres à la ronde, la progression des soldats Américains débarqués le 6 Juin 1944. Afin de supprimer ce point militaire stratégique, la petite église subit un bombardement aérien entre le 22 et le 24 Juin 1944. Après 18 jours de combats, le village est libéré le 28 Juillet 1944. Les habitants ne découvrent que ruines et désolation. Sur les 65 maisons qui composent le bourg, 35 sont complètement détruites et les restantes ont toutes subis des dommages importants.
35-07 Église, une curieuse pietà
Périodes : XIVe siècle, profondément remanié.
À voir : Ensemble de l'édifice, statuaire...
À voir : Ensemble de l'édifice, statuaire...
L’édifice est de style roman avec clocher en bâtière du XIVe siècle mais l’ensemble a été profondément remanié.
35-08 Chapelle : Un lieu où il est raconté que la Vierge ouvrait la porte fermée à clé pour guérir certaines affections cutanées
À voir : Chapelle, reconstitution de la grotte de Lourdes, statuaire, ex-voto, légende...
Cette chapelle est un lieu de pèlerinage très ancien attesté au XIIIe siècle. Sous le jardin du presbytère, on peut admirer une reproduction de la grotte de Lourdes.
La légende de la chapelle
Nous sommes après la Révolution. Comme de nombreux lieux liturgiques, la chapelle est vendue comme bien national et son nouveau propriétaire la transforme en grenier à blé. Fermée à clé le soir, la porte se retrouvait systématiquement ouverte tous les matins.
La légende rapporte que c’est la Vierge qui, par se signe, s’opposa à cet ennemi de la foi et qui donna ainsi son nom particulier au petit édifice. Un pèlerinage à lieu chaque année.
Une petite histoire de ce village Normand
Ce lieu saint aurait la réputation de faire des miracles en matière de guérisons de dermatoses appelées dans la région "vessies Notre-Dame Brûlées". Cette expression désigne certaines affections cutanées, en particulier celles occasionnées par des brûlures, la varicelle, la bulleuse et l’érythème fessier. De nombreuses guérisons sont attestées par des témoins.
À titre d’exemple, dans les années 1980, Marthe et Pierre ne comprennent pas pourquoi la peau de leur petit Jean présente des grosses boursouflures pleines d’eau. Toutes les parties du corps sont atteintes par ce mal que les médecins ne peuvent guérir. Alors, la mère décide de faire dire des messes à la petite chapelle. Le mal s’arrête, puis régresse pour disparaître au bout de dix jours.
35-09 Chapelle : Chercher la pierre d’indulgence
Périodes : XVe siècle.
À voir : Pierre d'indulgence, statuaire...
À voir : Pierre d'indulgence, statuaire...
La chapelle est construite au XVe siècle. Son portail est surmonté d’ornementations gothiques. Elle abrite une statue de Saint-Roch.
Découvertes
Dans le mur du portail se trouve une pierre d’indulgence. Selon la doctrine catholique, le péché est effacé par le sacrement du pardon lors de la confession. Mais ce sacrement n’enlève pas la peine temporelle (pénitence) due au péché. Cette peine peut être effacée par l’indulgence. Celle-ci est obtenue en contrepartie d’un acte de piété (pèlerinage, prières…). La petite chapelle contient dans le mur de son pignon une plaque indiquant une indulgence de 10 jours Pater et Ave.
Découvertes
Dans le mur du portail se trouve une pierre d’indulgence. Selon la doctrine catholique, le péché est effacé par le sacrement du pardon lors de la confession. Mais ce sacrement n’enlève pas la peine temporelle (pénitence) due au péché. Cette peine peut être effacée par l’indulgence. Celle-ci est obtenue en contrepartie d’un acte de piété (pèlerinage, prières…). La petite chapelle contient dans le mur de son pignon une plaque indiquant une indulgence de 10 jours Pater et Ave.
35-10 Chapelle : Au bout du champ, découvrir le Saint tenant ses entrailles pour guérir les enfants
Périodes : XIVe siècle.
À voir : Chapelle, statuaire...
À voir : Chapelle, statuaire...
Située en pleine campagne au bord d’un champ, la construction de la chapelle remonterait au XIVe siècle. À la Révolution, elle est vendue comme bien national, ce qui la réduira à partir de 1800 à l’état de délabrement. Restaurée en 1923, les rigueurs du temps, la période de guerre 1939-1945 et surtout le peu d’intérêt porté à l’édifice par le propriétaire du champ sur lequel elle est située fut fatale à la santé de la chapelle. À partir du début des années 1970, le nouveau propriétaire décide courageusement de restaurer le site, déplacer le mobilier souffreteux, consolider les murs qui s’écartaient dangereusement et surtout refaire la toiture effondrée ainsi que la voûte. Désormais, le pèlerin trouve une chapelle à laquelle aura été rendue ces éléments nobles que sont la pierre, le bois et l’ardoise.
Curiosités
Le pèlerin est accueilli par Saint-Wilmer invoqué pour la guérison des maladies d’entrailles des enfants. Saint-Wilmer est représenté tenant ses intestins dans ses mains.
Curiosités
Le pèlerin est accueilli par Saint-Wilmer invoqué pour la guérison des maladies d’entrailles des enfants. Saint-Wilmer est représenté tenant ses intestins dans ses mains.
35-11 Église : de surprenant chapiteaux
Périodes : XVIIe, XIXe, XXe siècles.
À voir : Chapiteaux...
L’édifice fut restauré après les dommages causés en 1944.
Curiosités
L’édifice abrite de très surprenants chapiteaux tous plus étonnants les uns que les autres.
Curiosités
L’édifice abrite de très surprenants chapiteaux tous plus étonnants les uns que les autres.
35-12 Manoir, une immersion dans le passé d'un ancien domaine agricole
Périodes : XVIe siècle.
À voir : Manoir, dépendance, communs, boulangerie, écuries, ancien pressoir...
À voir : Manoir, dépendance, communs, boulangerie, écuries, ancien pressoir...
L’édifice a été construit au XVIe siècle. Un système défensif protégeait la demeure contre toute intrusion ennemie. Les communs sont constitués d’une boulangerie, d’un pressoir, de granges, d’écuries et d’étables autour d’une cour devant le manoir. Le pressoir ancien, non daté, est pourvu d’un tour à pommes en granit et une presse à longue étreinte.
35-13 Église, un traditionnel clocher porche en bâtière
Périodes : XIIIe, XIVe siècles.
À voir : Ensemble de l'édifice, mobilier, ex-voto...
À voir : Ensemble de l'édifice, mobilier, ex-voto...
L’édifice date du XIIIe siècle et a vraisemblablement été construit sur l’emplacement d’une église romane. Son clocher-porche en bâtière date du XIVe siècle.
35-14 Chapelle, un petit édifice qui revient de loin
Périodes : XIIIe siècle.
À voir : Chapelle et statuaire...
À voir : Chapelle et statuaire...
Cette chapelle, ancienne église paroissiale date vraisemblablement du XIIIe siècle. Elle était un important lieu de pèlerinage. Celui-ci fut interrompu en 1917 car l’édifice était entièrement découvert et devenu impropre au culte. En 1936, il ne restait plus que les murs et le campanile, le tout envahi par la végétation. En 1949, le pèlerinage est cependant rétabli. La chapelle sera rénovée par une équipe de bénévoles de 1975 à 1979.
35-15 Vestiges de l’ancienne église, des bombardements fatals au petit édifice
Périodes : XIIe, XVe siècles.
L’église date des XIIe et XVe siècles. Elle fut détruite durant les bombardements de 1944.
En Pratique...
Situation...
Notre Carnet de Voyage...
Toutes les communes et coordonnées GPS des sites présentés dans cette page sont à retrouver dans nos Books de Voyages