EURE SUD EST 01 – RÉGION DE VERNON

Les cartes

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Étape A

A1

Bords de Seine et ville ancienne

Non loin des bords de Seine le centre ville, qui a survécu aux bombes, a gardé son aspect médiéval. Les rues sont bordées d’anciennes maisons à pans de bois datant des XIIe, XVIe et XVIIe siècles.

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A2

Château, d’un édifice défensif il finira dans le grain et la peau

L’histoire de ce lieu commence en 1196 en remplacement d’un édifice plus ancien dans le but de renforcer le système défensif de la ville sur la rive droite de la Seine et de protéger le pont situé juste à côté. Entre 1760 et 1765, il subit une restauration remarquable par sa qualité. Une fois la restauration terminée, le château est vendu à un entrepreneur en meunerie et l’édifice devient une minoterie. Le bâtiment est alors modifié et transformé pour notamment, pouvoir entreposer le blé. Ces transformations vont sérieusement dénaturer l’harmonie d’ensemble de l’édifice. Sous la Révolution, le château sert de prison puis de caserne de 1841 à 1849. En 1854, il est à nouveau acheté par un industriel qui va, à nouveau, apporter des modifications pour le transformer en tannerie. Durant la Seconde Guerre mondiale, il subit des destructions, d’abord en 1940 par les bombardements de la Luftwaffe qui détruisent la toiture puis en août 1944 par une bombe alliée qui réduit à néant la tourelle ouest qui sera reconstruite. D’autres travaux de reconstructions suivront en 1984 et 1997 et jusqu’à la fin de la campagne de restauration achevée en 2019.

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A3

Tour, les seuls vestiges d’un ancien château fort

L’histoire de ce lieu commence en 1196 en remplacement d’un édifice plus ancien dans le but de renforcer le système défensif de la ville sur la rive droite de la Seine et de protéger le pont situé juste à côté. Entre 1760 et 1765, il subit une restauration remarquable par sa qualité. Une fois la restauration terminée, le château est vendu à un entrepreneur en meunerie et l’édifice devient une minoterie. Le bâtiment est alors modifié et transformé pour notamment, pouvoir entreposer le blé. Ces transformations vont sérieusement dénaturer l’harmonie d’ensemble de l’édifice. Sous la Révolution, le château sert de prison puis de caserne de 1841 à 1849. En 1854, il est à nouveau acheté par un industriel qui va, à nouveau, apporter des modifications pour le transformer en tannerie. Durant la Seconde Guerre mondiale, il subit des destructions, d’abord en 1940 par les bombardements de la Luftwaffe qui détruisent la toiture puis en août 1944 par une bombe alliée qui réduit à néant la tourelle ouest qui sera reconstruite. D’autres travaux de reconstructions suivront en 1984 et 1997 et jusqu’à la fin de la campagne de restauration achevée en 2019.

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A4

Un vieux moulin sur les vestiges du pont médiéval

Construit sur les piliers, vestiges de l’ancien pont médiéval du XIIe siècle, c’est l’un des derniers témoins de moulins ayant existé dans la région. Il fut construit vers le XVIe siècle. Il subira de nombreux dommages durant la Seconde Guerre mondiale et sera rénové. C’est maintenant une ravissante demeure à colombages et une des rares bâtisse sur un pont en France.

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A5

Collégiale, de sa façade gothique aux treize chapelles

La construction de l’édifice commence vers la fin du XIe siècle, sa façade date du XVe siècle. Ses flèches atteignent une hauteur de 70 mètres. D’importantes transformations en style gothique ont été réalisées entre 1360 et 1610 ; notamment au niveau de la nef, de la façade et comprendront également la création de treize chapelles. Édifiée non loin de la Seine, son sol fut rehaussé de 50 cm en 1658 afin d’éviter les dégâts causés par les crues du fleuve. Durant la période Révolutionnaire, elle deviendra « temple de la Raison ». La Seconde Guerre mondiale marquera l’édifice : les bombardements de 1940 et de 1944 détruiront tous ses vitraux.

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